Une chambre masculine O.O[Hentai][Naoto]

Une journée, aussi bonne soit-elle, ne peut que finir mal lorsque l’eau chaude de la douche avait été finie par un énergumène quelconque. Qui aimait prendre des douches trop longues… Non mais sérieusement, s’il trouvait l’espèce de métrosexuel arriéré qui prenait tant de temps a se laver, ou quelconque autre raison pour que cette eau chaude parte si vite, il ne savait pas du tout ce qu’il lui ferait. Il n’avait même aucune idée si cet autre raison suffisante du manque d’eau survivrait à cet affront. En bref… il était revenu rapidement a sa chambre, remarquant encore l’absence de son colocataire. Sa douche matinale de prise, il pouvait maintenant commencer sa journée tranquillement. Ce matin, son cour était annulé de toute façon, mais il avait oublié d’éteindre son réveil matin, et une fois que celui-ci sonnait, s’en était fini… alors, autant commencer sa journée!... le seul problème, étant que le prochain cour était dans au moins 4 heures…

Voyant que sa journée était presque totalement libre, il décida alors de faire ce que tout homme devrait être en mesure de faire lorsqu’ils sont seuls et sans rien d’autre a faire… Il se mit a l’aise. S’étendit sur sa chaise de bureau, ouvrit la télévision… et tenta de regarder quelques canaux…. Non, enmerdant… Il se retourna vers son pc pour tenter de trouver une autre source de distraction. Non, encore plus enmerdant… Il tenta d’ouvrir ses cahiers pour y faire des devoirs? Une dizaine de minutes s’écroulèrent et un manuel de physique se fracassa au mur pour retomber sur le lit de l’hermite. Rien ne semblait fonctionner… quand soudainement, une idée de génie lui traversa la tête! Il prit le téléphone et appela la firme de sondages la plus proche pour voir s’ils n’avaient pas de sondage a faire répondre!... et fut étonné de voir que le service défaillant ne lui en suggérait même aucun! Il était maudit a n’avoir rien a faire jusqu'à son prochain cour, devant se tourner les pouces indéfiniment… Quel futur ci peu enviable!

Peu avant qu’il n’abandonnes tout espoir de survie, le téléphone sonna. Il se précipita alors pour répondre… et c’est avec horreur qu’il remarqua que c’était sa tante qui appelait pour avoir des nouvelles de lui… A l’extérieur, rien ne parut, mais a l’intérieur c’était une petite partie de lui qui mourrait encore une fois, sous la souffrance ultime qu’infligeait une jasette avec une telle mémère. Et alors qu’il croyait que rien ne pouvait être pire, ça arriva…

A sa porte, se tenait une bien jolie dame… qui avait entrée a son aise et avait poussée un petit cri de stupeur alors qu’elle tentait d’expliquer qu’elle ne savait pas que les chambres mixtes existaient dans cet école… effectivement, elle avait raison, ces chambres n’existaient pas. Mais, si elle était dans la porte alors, il se pourrait qu’elle se soit tromper d’aile… mais… ce regard insistant vers lui… AH MERDE! Il était toujours en boxers! Poussant a son tour un petit cri de stupeur, il sursauta et atterrit sur ses pieds, s’excusant d’un mot très, très bref, il s’enfuit vers la toilette pour enfiler ses jeans, au moins. Il se sentait absolument honteux, une femme qui entrait dans son appartement! Et en plus, lui, il était en boxers! Non mais!... hésitant légèrement, il empoigna la poignée de porte pour ressortir de ce minuscule cubicule qu’était la salle de bain. Ressortant, il aperçu encore cette demoiselle devant la porte et décida que son courage avait pris la fuite, faisant demi tour et allant presque jusque dans la salle a nouveau… pour finalement reprendre ce courage si frèle qu’il maintenait et se dirigea vers la salle principale. Il resta alors debout, torse nu, mais cette fois en jeans, troués au niveau du genou gauche, a tenter de chercher ses mots.

« Eff... Effectivement, je ne sa... savais pas du tout qu'il y avait des chambres mixtes dans cette université! Et encore moins que je faisais parti d'une… alors que faites-vous dans ma chambre!? » dit-il, d’un air plutôt nerveux… Et il semblait nerveux! On dirait qu’il développait presque de la chaire de poule a la vision de l’autre qui avait pénétré son environnement personnel… Mais bon, un traumatisme d’un temps a l’autre a quelqu’un de son genre ne pouvait que l’améliorer… n’est-ce pas?

Et d'un sourire plus que nerveux, il recula de la feuille de l'autre, comme terrorisé par cette action explosive... Plutôt il regarda le visage de la dame, implorant presque le pardon pour qu'elle ne le tue pas. Elle croyait peut-être avoir vue de la chaire de poule tout-a-l'heure?... et bah la elle en apercevait. Il était sérieusement terrorisé, même moins par le mouvement que par les présentations! Personne ne se présentait a lui! c'était absolument impossible, c'était... non sa ne se pouvait simplement pas! Il voulait soudainement se sauver en courant mais la seule chose de cette inhibition qui demeura fut: un soupir plutôt nerveux. Il ne pouvait faire autrement que de ne pas regarder la feuille et analyser son interlocutrice...

C'était bel et bien une femme! Mais un visage plutôt souriant... un air, bien?... La joie se lisait asser facilement aussi. Aucune dose de méchanceté dans le regard, aucune dose de cruauté cachée dans le visage... aussi le fait qu'elle était asiatique comme lui aidait un peu beaucoup. Il se détendit LÉGÈREMENT plus et tenta alors de regarder la feuille, rassuré un peu. Non mais! c'était quoi ce bordel! Elle était vraiment a la chambre onze!... AH Brad devait s'être transformé en fille et ce devait être celle-ci qui avait pris sa place!... non ça ne faisait absolument aucun sens!... AH! Le numéro onze de l'aile NORD! Ça, ça le rassurait... Mais ensuite, elle reprit la feuille et la regarda a nouveau pour lui demander s'ils étaient bien dans l'aile nord...

"Mais bien s..." et il s'arreta a ces mots bien simple, observant ensuite son visage pour déceler une certaine dose de regret? de la contrariété pure et simple... se sentant horriblement mal pour sa joie de pouvoir la renvoyer a outrepart, il revisa ses mots pour être moins frappant, développant un certain sens de compassion envers la jeune demoiselle...

"Et bien... je crois bien que vous vous êtes trompée d'aile, j'ai le regret de vous dire que vous êtes dans l'aile sud... entièrement désolé..." Pourquoi s'excusait-il? Aucune idée, il voyait tout simplement l'intéret de s'excuser pour quelque chose. Pourquoi? Même lui ne le savait pas! Il avait soit envie de lui botter le cul hors de sa chambre... sois d'au moins l'escorter jusqu'a sa propre chambre!... pour se racheter, quoi?... Mais se racheter de quoi encore?!

Une soirée avec elle?!!? Une soirée avec une fille?! une femme?! une dame... peu importe le terme, tout cela ne sonnait qu'étrange et effrayant a son oreille! Il voulait se sauver en courant... mais elle était devant la porte alors... AH il pourrais toujours foncer, la pousser hors du chemin et ne plus jamais revenir! Ah ça c'était tout un plan... NON! Il resta donc la figé sur place devant la proposition, ses yeux devinrent soudainement emplis d'une peur fondamentale plus forte que tout. Il était empris de panique et cherchait quelconque raisons de décliner l'offre! Sa vie était en jeu! Il devait... Il se secoua la tête chassant enfin cet espèce de sentiment qu'étais cette peur de lui pour en revenir a la situation.

Cette contrariété et ce regret... ne l'avait-il pas causé en agissant comme une bête immonde au commencement?... elle était après tout aussi humaine que lui, jusqu'a dernière nouvelles. Il voulait au moins pouvoir se racheter... mais se racheter de quoi? depuis quand avait-il été la cause des malheurs de quelqu'un d'autre?... ... mis a part sa soeur bien sur. Il la fixa d'un air plus songeur a présent, et garda ses distances pour ne pas ce faire attaquer. C'était une femme après tout! Il savait qu'il aurait honte toute sa vie pour avoir heurter quiconque...

"... ummm... et bah... vous savez..." furent les seuls premier mots a sortir de sa bouche presque tremblante... il releva son bras droit, plaçant sa main dans son cou pour pouvoir lui en gratter la nuque. D'autant qu'il le voulait il ne devait pas se sauver, et il devait aussi maintenir le fait qu'il devait accepter cette offre... non mais pourquoi ça n'arrivait qu'a lui des situations de ce genre! Brad se serait probablement fait une joie avec cette demoiselle!... Parlant de ça, était-il célibataire ou avait-il une copine cet espèce d'énergumène?... Non! Focus! Il revint rapidement a son problème présent et dit d'une voix un peu plus décidée: "Ummm et bien... sa... sa... sa me ferait plaisir... mais je tentes d'éviter l'aile commune le plus possible...." dit-il d'un ton de voix tout sauf décider...

Comment est-ce que quelqu'un pouvait autant être un cas déséspéré que ça...

Le... chercher plus tard?! Claquant la porte derrière elle, elle laissait un homme qui venait de s'autodétruire lui même... Il resta la, bouche bée, fixant la porte et attendant pendant environ 15 minutes. Tout cela n'allait pas... elle viendrait le chercher... pour qu'il passe une soirée avec elle. C'était... plus que ce dont il pouvait endurer! Il paniquait intérieurement alors qu'il tentait de chercher une échappatoire possible... Sa sœur!!!... non, pour sa il devrait traverser l'aile nord en entier pour se rendre a elle! C'était plus qu'impossible d'aller la voir... Brad rentrerait bien et trouverait une raison de draguer quelqu'un!!!... non, il ne devait pas compter la dessus... Il avait un cour de toute façon!... mais bon, elle reviendrait en soirée avait-elle dit... et il n'avait pas du tout envie d'aller perdre son temps en physique. C'est alors qu'il décida d'appeler pour canceller son cour, mais non! Sa tante! Merde! Il avait oublié le téléphone ouvert depuis tout ce temps!... Il retourna alors au téléphone... et continua cette charmante conversation avec sa tante pour finalement éviter le sujet de la conversation qu'il venait d'avoir...

Quelques heures plus tard, il était encore la, assis a son poste, attendant l'apocalypse... un chandail un peu trop grand pour lui et de couleur unie et fade au corps. C'était vraiment d'un pathétique aberrant cet homme. Plus pathétique que ça, c'était la mort assurée. Il était assis dans son siège habituel, attendant, les deux mains ensembles, impatient de savoir comment cette nuit ce passerait… Un frisson dans le dos lui passa alors qu’il imagina les pires scénarios, il était définitivement fini. Pourquoi l’avait-il invitée en premier lieu, de toute façon?! Sa y est, dès qu’elle viendrait le chercher, il lui dirait qu’il ne peut pas… qu’il devait faire autre chose! Oui, c’était sa! C’était l’option parfaite! Un devoir ou quelque chose du genre! Oui! C’était fantastique! Il était soulagé et put alors, enfin, recommencer a s’enmerder et tenter de trouver quelque chose a faire…

Ce n’est que quelques heures plus tard qu’il entendit finalement cette porte cogner… Il savait exactement qui c’était. Il se leva, d’un air plutôt fier de lui-même d’avoir élaboré ce plan parfait et alla donc ouvrir la porte… mais dès qu’il l’aperçut… ce minois si fin, ces yeux pénétrants… ce débardeur si… osé! Elle émanait d’une sensation que cet homme n’avait jamais ressentie auparavant! Il resta bouche bée devant elle écoutant sa douce voie mélodieuse lui parler et l’enivrer…. Il secoua la tête légèrement, suite au discours de la dame et l’invita avec courtoisie a entrer…

Dès que ce simple mouvement fut fait, il se prit la tête d’une main légèrement, sans que celle-ci ne l’apperçoives, puis revint en position totalement normale. Ce qu’elle pouvait observer était simple, premièrement, elle se trouvait dans une cuisine, la table a sa droite avec, a sa gauche, la porte pour aller a la toilette… Sur le mur du fond, deux portes, une a gauche menant vers ce qui était probablement une chambre, concidérant qu’elle était fermée, et celle de droite, menant vers une autre chambre, probablement celle de Nao. La cuisine était vide, mais un portable était installé sur la table, ainsi qu’une chaise de bureau…

« J’espère que d’écouter ces dvds dans ma chambre ne vous dérange pas… la seule télévision, mis a part celle de mon colocataire s’y trouve… donc… » dit-il, d’un ton légèrement honteux. Il n’avait pas l’habitude d’inviter quelqu’un dans SON sanctuaire…. Il lui pointa la porte, d’un air plutôt insécure et incertain. La suivant et la laissant passer en premier… sa chambre était simple, a vrai dire, trop simple. Un lit, une table de chevet, un petit meuble a télévision… un garde robe… une commode… et c’est tout… De toute façon, il n’y allait que pour se reposer, et il ne pensait jamais inviter personne dans cet endroit. Non mais… qui aurait imaginer que quelqu’un d’autre que lui serait entré en ces lieux un jour ou l’autre?

Elle… se… Collait?!!? Un frisson tout le long du corps avait traversé tel la foudre, faisant frémir tous les endroits de son corps de 5 pieds 4 de haut... Le fait qu’elle se collait contre lui était la goute qui faisait déborder le vase. Ce qu’elle lui avait dit a l’oreille lui donna une envie encore plus imminente de se sauver en courant! Il voulait déguerpir! Sa y est, il partait et il ne reviendrait pas!... mais… son corps était plutôt confortable… et… cette chaleur… et… cette voix… Arrrhhh! Il s’éloigna de la dame, se levant et allant vers la table de chevet, en détournant le lit. Il prit alors une boite de dvd quelconque et dit : « … On était pas supposé regarder des dvd nous? » d’un air un peu stressé…. Il marcha et le plaça dans le lecteur pour enfin se rasseoir sur le lit… légèrement plus éloigné d’elle… la manette en main.

D’un sens il détestait qu’elle l’ait touché… mais d’un autre… cette chaleur humaine était loin d’être désagréable! Il voulait qu’elle s’éloignes, mais voulait-il vraiment qu’elle le fasse?... Il voulait aussi qu’elle s’approches! Il ne savait plus que penser alors qu’il ne faisait qu’atteindre le menu de ce sale dvd. Il se foutait du titre, se foutait de tout… se foutait de quoi que ce soit… tout ce qu’il voulait c’était… c’était… ah et merde! Il ne le savait même plus! Il soupira alors et se retourna vers Yuyie pour lui dire : « … sa t’dérange que j’en prennes une?... » tout en prenant une de ces Boris qu’elle avait apporter… Lui et l’alcool ne faisaient pas bon ménage normalement mais le stress lui faisait signe qu’il allait bientôt le tuer… alors autant se détendre merde!

Et le pire, c’est que l’effet de cette boisson fut quasiment instantané… après tout, l’homme n’avais pris qu’une seule bière dans toute sa vie, n’avais jamais vraiment été résistant a l’alcool, était petit, et ne pesait pas une tonne… Une seule boris et le voila déjà chaud! C’était beau sa. Il avait ses capacités mentales… juste qu’il était bien plus détendu qu’avant… ce qui était largement bien pour sa comparse.

Son corps redevint tense comme il ne l’avait jamais été, il n’avait jamais été si près d’une femme auparavant… s’en était… troublant! Il voulait… il voulait… il n’était pas a sa place! C’était trop! C’était… impossible! Inhumain, il ne se serait jamais laissé avoir en temps réel! Il… il… pourquoi était-il maintenant présent ici et maintenant?! Que ce passait-il?! Il avait envie de mourir présentement… et c’est alors qu’elle fit ce qu’elle n’aurait pas du faire, ou du faire, dépendant de ses intentions.

Déposer ses lèvres sur son cou… c’était, plus… trop… un frisson parcourut alors tout le corps du pauvre adolescent, et d’une seconde a l’autre, ses yeux se fermèrent… et ces pensées sombres aussi, cette panique disparut… son corps devint plus détendu… comme si quelque chose d’autre avait pris sa place, comme ci ce « Naoto » n’était plus, qu’il avait légué sa place a quelqu’un d’autre, a quelque chose d’autre qui n’était pas lui-même… C’était une sensation ci bonne… ci… bien… ci… chaleureuse et excitante. Cette sensation plus qu’envahissante prenait possession de tout son corps, lentement, mais surement… et ce n’est que lorsqu’elle fut assise sur lui que cette nouvelle identité assimila tout ses droits sur la personne qu’était Naoto. Cet autre homme…

Il enroula alors ses bras autour de cette très chère Yuyie et rebaissant la tête, il ne fit que la fixer pour ensuite lui répondre d’un ton plutôt sensuel : « … mon nom n’importe en rien, tout ce qui importe c’est vous et moi maintenant. » lui collant ensuite un baiser, passionné, sur la bouche. La resserant contre lui, embrassant ses douces lèvres et profitant ainsi du moment, une chaleur plus ardente s’épanouissait en lui… une nouvelle flamme s’allumait et une autre s’éteignait. Sa renaissance était bel et bien enclanchée.

Caressant le dos de l’autre de ses mains agiles, il cessa de l’embrasser pour ensuite la regarder dans les yeux, tendrement… puis se détourna vers son cou pour en mordiller la chaire, l’embrassant par la suite… Cet homme si gèné auparavant, était maintenant une bête sans aucun remords, une créature chargée d’hormones masculines et excitée comme jamais elle ne l’avais été… l’alcool avait peut-être été de trop après tout!

Le fauve qu'il était devenu se foutait carrément qu'elle veuilles savoir son nom... mais une part de lui demeurait, comme par magie, dans cet affront de deux volontées en lui, comme un point de rencontre de deux énergies, ou l'on peux distinguer une seule force brutale et pure... et nouvelle. Il poussa légèrement la dame pour qu'elle retombe sur le dos, étendue sur son lit, puis, il s'avança vers la dame, se glissant au dessus d'alle, flanquant ses deux mains sur les cotés, retenant son corps pour ne pas écraser cette dame aux si beaux atours. La tête élevée au dessus de la sienne, il la regarda droit dans les yeux. Derrière ceux-ci ce cachait une ardeur impatiente et puissante, une passion embrasée... mais aussi une certaine part de tristesse. La fixant comme s'il allait la dévorer des yeux, il finit par ouvrir la bouche pour lui déclarer: "Puisque cela importe tant, mon nom est Naoto...". Ces mots, aussi simples soient-ils cachaient bien plus que cette information futile... une certaine dose d'aigreur dans la scène peut-être? Mais bref, bien que quelques signes bien enfouis démontraient encore une certaine dose d'un homme incertain, la créature fit donc un pas vers l'avant... La tête du dit Naoto retomba lentement vers celle de son interlocutrice, s'approchant lentement, prudement, et lorsque la respiration des deux put s'interchoquer, lorsque leur regard furent plongés dans le néan du regard de l'autre, lorsque leurs bouchent furent a des poussières l'une de l'autre, il referma ses yeux, lentement, commençant a embrasser sa "Proie" avec une tendretée plutôt surprenante... mais une passion plus que perceptible. Le terme langoureux ne pouvait s'appliquer, malheureusement... Il avait hélas bien asser attendu pour ce moment... C'était peut-être son premier baiser qu'elle n'avait aucune chance de s'en rendre compte, son instinct ayant pris possession totale de son corps le guidait vers la bestialité que prenait l'excitation humaine...

Et par cette belle soirée de fin d'automne, il avait finalement vaincu sa peur fondamentale... mais étais-ce ci certain? Qu'allait-il arriver lorsqu'il réaliserait ce qu'il avait fait?... C'était ambigu, mais c'était loin d'être beau. Mais, bien que ces questions auraient pu troter a quelque part dans sa tête, son focus resta a tout moment son hôte. Il n'était capable de s'en dissocier, ses douces lèvres goutaient bon... Son odeur ennivrante le rendait totalement fou... Ses pulsions devenaient de plus en plus intense, mais pas asser pour devenir brutal et sans esprit. Après quelques une minute, il arrèta ce baiser si passioné pour s'enligner vers autre chose... contournant sur le coté de sa tête, redescendant vers son cou, embrassant la chaire fine et douce de son cou, en mordillant celle-ci doucement. Puis, toujours sur son envolée, il continua de descendre, longeant ses courbes, frôlant doucement ses parties, se dirigeant tranquillement vers les monts enchantés et redescendant ceux-ci pour se diriger vers le reste de son corps. Embrassant a plusieurs reprises tout le long de son corps, il finit par atteindre le début de son pantalon.... Mais ou allait-il s'arrèter?... C'était a elle seule de le découvrir, ou de l'interrompre, bien sur.

Détacher son jean avec ses dents?! Il est bien dommage qu’en boxers, on puisses moins cacher ses émotions qu’en jeans… si vous voyez ce que j’entends par la. Il était totalement a découvert et son désir pour son hôte était de plus en plus ardent… Il ne voulait plus que se tenir contre elle et l’embrasser… il voulait la posséder, il voulait l’avoir pour lui seul et ne plus jamais être séparé, il voulait gouter a toutes ses tendresses et jouir des plus grands plaisirs avec elle… Mais, bien que son corps et son âme étaient tous deux d’accord, que son cœur soit en plein dilemme existentiel lui paraissait petit… son intellecte avait envie de s’auto-détruire maintenant, ayant tombé dans les charmes les plus primordiaux de cette demoiselle, ayant succombé a cette tentation qu’il fuyait depuis si longtemps avec une peur innée… Il était bien loin ce cerveau si puissant sur son propre corps… Il frémissait de plaisir à ressentir ce que cette dame avait a offrir…

Il était presqu’autant dénudé que celle-ci, mais sa chaleur corporelle l’excitait même peut-être plus que elle… Il s’ennivrait de plus en plus, sa conscience s’en allait et disparaissait au plus profond de lui-même, laissant place ultimement a cet instinct et a ce plaisir charnel qu’il avait oublié, même banni de son esprit… Il ne pouvait plus s’en passer… et ce dernier baiser qu’elle lui donna… c’était trop… Il en voulait plus… Il la voulait plus, il voulait qu’elle soit sienne! Tentant de l’embrasser a nouveau, elle l’évita… Il aimait le jeu, mais ne tenta pas de le continuer trop longtemps. Il prit les hanches de la dame, la ramena vers lui avec une partie de sa force, ne la brusquant pas, mais l’obligeant presque a faire a sa volonté… L’ayant plus proche de lui, il enfouis sa tête dans son cou, embrassant la chaire douce et fine a nouveau, la mordillant légèrement, léchant cette douce peau au gout ci relevé… Ses bras enroulant lentement le corps de l’autre, sa main allant vers le dos du soutien gorge de son hôte, le dégrafant habilement comme s’il n’avait fait que sa de toute sa vie, puis il redescendit son bras, carressant la douce peau de celle-ci…

Sa y est… s’en était déjà trop… sa conscience s’en alla totalement, cette passion ennivrante qui l’enveloppa de sa douce couverture de velour… cette si douce luxure qui ne faisait qu’ajouter de l’ampleur au moment si étrange de la vie de cet homme… Qui aurait cru que ce rejet, ce loser de première qui n’avais même jamais adressé la parole a quiconque sauf pour lui dire de dégager du chemin ou d’arrèter de s’en prendre a sa sœur finirait au lit avec une des plus belles femmes du campus! Les mains se crispant soudainement sur le lit, il résistait l’envie de se tortiller de plaisir, son membre devenant rapidement plus dur. Les si douces lèvres et la si fine langue de l’autre s’occupant de celui-ci, l’embrassant sommairement avaient stimulé a un niveau jamais rencontré avant par le jeune homme. Il passa a deux doigts de gémir comme Il la désirait, il voulait la dévorer toute crue, il voulait la voir gémir de plaisir et de passion, il voulait… Il devenait fou d’elle, fou à lier comme il était dit.

Elle, lui, peu importe… eux! Il voulait la prendre et entrer en elle immédiatement! Il plaça ses mains sur les hanches de l’autre avec une force plutôt brutale, mais pas asser pour lui faire mal… Ses yeux étaient ardents, les flammes de cette passion infini se voyaient presque dans son regard demandant, dans son regard admirateur… Il fixait le corps de l’autre… mais quel corps! Un visage… un de ces visages qui ferait mourir d’un désir quiconque, des épaules fines et délicates comme il le faut… un buste ni trop gigantesque, ni trop petit, juste de la taille parfaite, a faire baver tout ces pervers qui passent… ce désir grandissait de plus en plus, alors qu’il tenait ses hanches si fines et gracieuses, si délicates…

Il remonta ses bras sur les cotés de son corps si gracieux, en caressant sa chaire douce et fine, s’oubliant dans cette sensation d’euphorie. Il releva légèrement son dos, entourant ses bras autour d’elle, enfouissant son visage dans la poitrine de celle-ci… se retournant légèrement la tête, se dégageant légèrement, rapprochant son visage du sien… puis la regardant dans les yeux, lui sussurant a l’oreille : « Je vous désires… plus que tout… » pour ensuite l’embrasser passionément… se laissant retomber par en arrière, la faisant basculer avec lui, lentement, légèrement… puis, elle sur lui, l’embrassant passionément, il la renversa sur le coté, gardant l’un de ses bras autour d’elle…

Son autre bras, bien plus baladeur, commença a aller plus vers le bas… traçant la ligne de sa colonne vertébrale, lui causant probablement une salve de frissons tout le long de son corps digne du panthéon. Il savourait chaque instant comme si c’était le dernier, ne se pressant pas, mais la faisant languir pour son propre amusement. Sa main descendait alors sur le rebord de sa hanche, descendant encore un peu, touchant sa petite culotte, touchant sa la peau de sa fesse, dépassant légèrement de sa petite culotte… Il continuait de l’embrasser, caressant aussi son cou de son autre main, tentant a tout prix de stimuler le plus de ses sens que possible. Il se faisait de plus en plus insistant… alors qu’il monta d’un niveau… encore.

*Be mine*

Ce fut bref avant qu’elle ne réalise qu’il n’y avait probablement plus aucun échappatoire. Remontant légèrement sa main, ce ne fut qu’un bref mouvement pour enfin la redescendre… mais… a l’intérieur de la dernière couche de protection, allant fouiner directement dans le jardin secret de cette dame aux courbes si invitantes. Il ne prit pas plus d’un instant pour trouver ce qu’il recherchait… et en caressa la surface pour faire son agace… pendant même qu’il faisait ceci, son visage redescendit de sa bouche, frolant son menton, pour aller ensuite vers sa gorge… et s’arrèter sur sa poitrine, embrassant la mamelle de l’un de ses seins… lèchant celle-ci de manière a stimuler son corps encore plus…

Alors qu’il s’amusait, collé contre elle, il décida enfin de ne plus patienter a l’extérieur… Et y fit pénétrer un doigt… un seul aventurier qui alla vers l’inconnu, qui s’aventura plus loin qu’aucun membre n’avait jamais été, tel l’éclaireur courageux… Du plaisir il n’en avait toujours pas asser… mais pour l’instant, c’est ce dont il se satisferait…

Une soirée comme les autres? Une nuit de détente? Ohhh… c’était loin de la! S’il avais suivit ses instincts, on aurais parfaitement su ou sa allais se terminer… mais que se passait-il alors?... N’avait-il pas été parfaitement antisocial, parfaitement inparlable et même voir désagréable? Pourquoi était-elle encore la?... Bref, sa ne vallait plus rien ce petit schème impossiblement stupide. Sa ne valait absolument plus rien. Il avait été leurré par cette succube et maintenant il était contrôlé par cette douce odeur, qui était maintenant le seule chose qu’elle portait… Le temps semblait s’être arrèté… et c’était a son avantage. Il ne voulait plus que le temps avances, il voulait rester là jusqu'à l’éternité, caressant la douce peau de cette si « effrayante » femme… ou bien c’était ce qu’il aurait dit avant. Il se riait de lui-même ou presque… du moins il l’aurait fait s’il aurait été apte de pensées…

Elle était si belle… si parfaite… si provoquante, mais a la fois excitante! Il brulait de désirs pour elle… et ce dernier baiser… si parfait! Il n’en pouvait plus! Il savait exactement ou aller… et son corps ne répondait plus a ses pensées, il était maintenant totalement autonome. Le démon de la luxure avait fait son œuvre, finalement, ayant reussi a mettre ses griffes sur le pauvre Nao. Dès qu’elle lui chuchota qu’elle le désirait ardamment, s’en était fini. Il était totalement fou. Fou d’elle, fou de désir, fou de passion… la tête n’y était plus pour rien, le corps répondait aux désirs primordiaux et aux ambitions les plus folles de l’esprit du jeunot.

De ses mains habiles, il descendit finalement la culotte de la demoiselle, tremblant presque sous le désir de l’avoir a lui seul, et sachant qu’il l’aurait bientôt. Finissant de descendre la culotte au plus loin que ses mains puisses se rendre dans la position donnée, son corps lui était totalement dévoilé. Il ne se pouvait absolument plus, il n’était plus capable de se retenir, l’envie irrésistible de la toucher, de la prendre, de l’enmener au septième ciel avec lui… Il était fini, il était mort… l’innocent Naoto était assis sur son trône d’ignorance qui s’effondrait lentement, son monde disparaissant pour ne plus rien être, tentant de garder un fragment quelconque de ce trône qui lui était si précieux, qui était le pillier même de sa petite vie misérable et morne, de cette vie qui lui était si ridicule… Il riait, d’un dernier rire innocent ce pauvre fragment de conscience… regardant autour de sa salle de trône, ses laquais le quittant enfin, les murs s’effondrant pour laisser la lumière entrer… et le monde s’affaissant pour lui… laissant… autre chose… prendre le dessus.

Pourtant, bien que son esprit lui-même en ait souffert des dégats collatéraux, cela ne sembla en rien a ce qu’il fit dans le concret… Désirant l’autre plus que tout, il la prit par ses hanches si fines et, lui fichant un dernier baiser, un peu trop bestial, il la reprit et la retourna encore une fois sur le dos… pour une fois, il avait pleinement le dessus... maintenant son baiser, il se plaça directement par-dessus elle, se soutenant de ses bras musclés pour ne pas l’écraser. Il cessa le baiser et la regarda dans les yeux pour lui dire aussi sec que cela puisses parraitre :

« Soit mienne… »

Rien d’autre, ni plus ni moins… mais il savait parfaitement ce qu’il faisait. Redescendant légèrement, il embrassa a nouveau toutes les courbes de celle-ci, ne se gênant point pour arrèter ou il voulait pour lui faire soutirer quelques gémissements. Il était maintenant au niveau de son antre secrète, son bras droit lui enlevant la culotte qui restait pendante a ses jambes… Puis, d’un malin plaisir, sa langue se mit a l’œuvre… Il découvrit avec une tendre passion cette merveille qu’était le corps féminin, lèchant, stimulant cette partie qui lui était inconnue du corps féminin. Lui soutirant probablement bien plus de gémissements de par son insistance, il décida, suite a quelques temps d’amusement de passer a autre chose… Il se releva, et remonta son corps vers elle… Ses yeux regardant dans les yeux de Yorie, il resta ainsi pendant quelques secondes, la dévorant du regard.

Son membre ardent et dur comme le roc pointait bien droit, et était déjà en position, chatouillant l’entrée de la grotte humide, donnant un avant gout a celle-ci de ce qui arriverait…Il l’embrassa encore une fois, cessant toutes actions autre que celle-ci, touchant a sa joue d’un geste passionné, lors de celui-ci. Il n’était pas un romantique de nature, ce nao… mais maintenant, c’était presqu’un tout nouvel homme. Il avait brisé le voile de son innocence… D’un geste doux, il releva la tête, regarda sa belle dans les yeux… et d’un mouvement de bassin, entra en elle finalement, goutant a un tout nouveau niveau de plaisirs.

Il était presque en transe… Il l’adorait, l’idolatrait presque, il goutait a tout ses délices et aurait tout fait pour ne serais-ce qu’une seule seconde de plus avec elle. Seul le fait de la voir, seul le fait de l’avoir, seul le fait de pouvoir la toucher et la caresser le rendait déjà fou d’elle… le parfum qu’elle dégageait l’enivrait de passion, le rendait de plus en plus bestial, le perdait dans ses instincts les plus profonds. Il voulait plus, il désirait plus, il aurait plus! Il ne la laisserait pas s’en aller tant qu’ils n’auraient pas été tout les deux satisfait au point d’en être malade! Il voulait qu’elle reste avec lui jusqu'à la fin des temps… Déjà le moment ou elle commença a interragir le rendait d’autant plus cinglé, il commençait a gémir, a ne plus pouvoir se retenir. L’euphorie que lui procurait le moment était si intense! Et elle… ces gémissement et ces cris la rendaient si… si… désirable! Il l’aurait mangée tout crue s’il n’aurait pas été si pris présentement…

Le moment ou elle le pris pour le retourner sur le dos, s’en était déjà fini de lui… elle qui bougeait alors qu’il n’avait rien a faire, autre que certain mouvements de bassin, bien sur. Le plaisir le submergeait, et le seul regard vers cette beauté lui donnait encore plus envie d’elle… son corps parfait sur le sien, la chaleur quasi-caniculaire, l’excitement près de son maximum. Il ne pouvait faire autrement que de tenter de l’avoir a lui seul! Il plaça ses mains sur ses hanches, contrôlant le mouvement de son bassin pour en soutirer presqu’un orgasme… Bien qu’il fut interrompu abruptement par l’idée de Yorie.

Ralentissant légèrement pour concidérer l’offre, il ramena son corps vers lui pour avoir son visage aussi près d’elle… Il contourna sa tête, se dirigeant vers son oreille et lui chuchota : «Apres, nous y iront… la nuit est encore jeune. » et tout de suite après, il embrassa le haut de son cou, descendant vers le creux du cou et le mordillant légèrement, la chaire fine au gout si délicat de cette déesse a ses cotés. Son corps si fin déposé sur le sien… Il y lécha la peau si fine pour ensuite la reprendre et se mettre a bouger les hanches pour la pénétrer plus profondément. Il laissa l’une de ses mains aller vers son torse alors qu’il lacha sa prise de son cou et qu’elle se releva légèrement. Il remonta jusqu'à ses seins ou il se mit a le masser… plus pour son propre excitement que le sien, tentant de ne pas lui faire mal. En effet, c’est fragile ces petites choses.

Il était empli d’une passion encore plus ardente qu’avant… Il ne s’arrèterait pas avant de tomber de fatigue, trop enivré par le plaisir lui-même… la remontant de plus en plus, elle qui siégeait maintenant sur son corps comme sur un cheval d’arson, lui remonta le bas de son corps, sa tête arrivant au niveau de sa poitrine, et embrassant les douces extrémités de cette poitrine bien garnie, il se délectait encore plus du corps de son hôte. Il enviait quiconque aurait gouté a elle avant lui, et veillerait a ce que personne d’autre ne puisse jamais puiser de plaisir en elle… elle était sienne, et a personne d’autre! Sa passion redevint encore plus grand un instant, l’intensité redevenant a son paroxysme, la puissance et la profondeur de ses coups de bassin devenant de plus en plus grands, bien que gardant un tempo assez bien et ne lui foutant pas une douleur impossible a endurer, sa bestialité devenait encore plus grande et ses pulsions de plus en plus insistante… Il devenait aveugle, aveugle dans un brouillard de plaisirs intense et une vague de chaleur impossiblement douce. Il se retenait pour gémir, il… il…

D’un seul coup de bassin c’était presque fini, il n’en pouvait plus! Il… il!... Si elle faisait quoi que se soit, il était perdu… perdu pour de bon dans cet océan de plaisir, et noyé dans la jouissance il serait. Si elle faisait quoi que se soit, il ne savait pas du tout jusqu’ou il irait après! Et, pour être franc, il commençait a s’en foutre… l’inévitable devrait bien arriver un jour de toute façon… cet inévitable si délicieux et doux…